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BEETHOVEN - SYMPHONIE NO.3 OP.55 MIB MAJ HEROIQUE + CD

EDITIONS EULENBURG
(Code: 9790200223316)
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22,50 €
50g

  1. Toute personne qui lit, entend, plus. Quiconque veut comprendre une composition se doit de l'étudier en score. Les subtilités d'une composition sont souvent compréhensible uniquement sur la partition. La série Eulenburg Score + CD se caractérise par son format facile à lire, son excellent impression, son papier de qualité et une préface bilingue en allemand et en anglais. Tous les volum../...

  2. Toute personne qui lit, entend, plus. Quiconque veut comprendre une composition se doit de l'étudier en score. Les subtilités d'une composition sont souvent compréhensible uniquement sur la partition. La série Eulenburg Score + CD se caractérise par son format facile à lire, son excellent impression, son papier de qualité et une préface bilingue en allemand et en anglais. Tous les volumes contiennent un CD d'enregistrements du label Naxos.
    La Troisième Symphonie, « Héroïque », marque une étape capitale dans l’œuvre de Beethoven, non seulement en raison de sa puissance expressive et de sa longueur jusqu’ici inusitée, mais aussi car elle inaugure une série d’œuvres brillantes, remarquables dans leur durée et dans leur énergie, caractéristiques du style de la période médiane de Beethoven dit « style héroïque ». Le compositeur entend initialement dédier cette symphonie au général Napoléon Bonaparte, Premier consul de la République française en qui il voit le sauveur des idéaux de la Révolution. Mais en apprenant la proclamation de l’Empire français (mai 1804), il entre en fureur et rature férocement la dédicace, remplaçant l'intitulé Buonaparte par la phrase « Grande symphonie Héroïque pour célébrer le souvenir d’un grand homme ». La genèse de la symphonie s’étend de 1802 à 1804 et la création publique, le 7 avril 1805, déchaîne les passions, tous ou presque la jugeant beaucoup trop longue. Beethoven ne s’en soucie guère, déclarant qu’on trouverait cette symphonie très courte quand il en aurait composé une de plus d’une heure, et devant considérer - jusqu’à la composition de la Neuvième - l’Héroïque comme la meilleure de ses symphonies.

 

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